Les aphrodisiaques d’aujourd’hui ne sont pas les mêmes qu’autrefois. Aujourd’hui, les aphrodisiaques mêlent plaisirs gustatifs et éveil de la libido. Autrefois, l’éveil de la libido passe coute que coute avant le plaisir gustatif. Parfois insolite voire dégueux, découvrez ce large choix d’aphrodisiaques que vous pouvez reprendre si vous le désirez.
Les mets spécifiques
Les rognons blancs
Communément appelés testicules, les rognons blancs sont bourrés de testostérones d’où l’on tire ses vertus aphrodisiaques. C’était en Grèce antique que les vieux hommes défaillants privilégiaient tout particulièrement ce met notamment ceux de l’âne.
Les pierres précieuses
Une pratique ancestrale des rois perses était de réduire des perles, des rubis et de l’or en poudre qu’ils avalaient pour revigorer leur ardeur.
Les poils pubiens
Sous l’ancien régime, l’impuissance était traitée par les poils pubiens des personnes exécutées par le bourreau. Et c’était d’ailleurs ce dernier qui monnayait les parties du corps de ses victimes, incluant les poils, pour arrondir leur fin du mois.
Les odeurs corporelles
La sueur bestiale masculine
La sueur sécrétée par l’homme stimule la libido des femmes. C’était sous la Rome antique que la sueur des gladiateurs était récupérée pour faire des pilules aphrodisiaques.
La transpiration des femmes
En XVIe siècles, le déo aurait été un flop car la transpiration des aisselles servait à rendre un amant en une bête de sexe. L’usage pour la femme anglaise était de rouler une pomme sous ses aisselles avant de la donner à son amant.
L’haleine des jeunes filles
Respirer l’haleine d’une jeune pucelle rendrait à un homme impuissant sa tonicité sexuelle. C’était une pratique du Nord de l’Europe, datée du XVIIe siècle.
Les bains peu ordinaires
Le bain de fumier
Sous le règne de Louis XVI, il était d’usage que le futurs marié baigne dans un bain de fumier pour assurer sa virilité lors de la nuit de noce.
Le bain de vin
Les hommes impuissants du XVIe siècle plongeaient dans une baignoire remplie de vin pour redonner du pep à leur partie génitale.
L’art culinaire
Le pain et le poisson
Des pratiques hot dans le temps mais totalement out de nos jours, le fait de voir les jeunes femmes pétrir la pâte du pain avec leurs fesses avant de les enfourner, donnait un coup de fouet à la libido masculine du temps des Carolingiens du VIIIe au Xe siècle. Pour être sûre de leur coup, elles enfournaient également les poissons frais dans leur vagin pour les asphyxier. Un brin tordu mais très excitant à l’époque.
La viande enfournée
En Afrique du Nord, les femmes des harems enfournaient les morceaux de viandes crues dans leur vagin avant de les cuire et de les servir à leur maître. Tout ceci dans le but d’éveiller le désir de celui-ci.