Avec l’âge et les tâches ménagères au quotidien, il devient de plus en plus difficile de convaincre sa femme à faire l’amour. Ceux qui envisagent de relever le défi peuvent compter sur Emilie Wright. Cette blogueuse australienne d’une trentaine d’années vient de poster une vidéo à travers laquelle elle donne un petit coup de pouce aux messieurs souhaitant attirer tout doucement leurs épouses jusqu’au lit. Lentement mais sûrement !
Pas toujours facile d’envisager des câlineries ou quelques gâteries quand l’envie va à sens unique ! Il y de quoi tout de même surtout du côté de madame. Pensez un moment à cet emploi du temps surchargé qu’elle doit gérer tant bien que mal dans la journée. Il devient évident que la libido ne soit pas au rendez-vous. Bonjour la frustration !
Selon la jeune blogueuse, c’est le choix du moment qui s’avère le plus déterminant. En premier lieu, elle propose aux maris de tenter leur chance entre les 45 min et 1h15 après le moment où les enfants sont allés au lit. Passé ce délai, madame risque déjà de s’endormir. Dans ce cas, il faut éviter de la déranger sinon elle risque de réagir négativement voire violemment.
Le moment pendant lequel la maison se trouve dans un état de propreté irréprochable : toujours selon Emilie Wright, cela pourrait être le moment favorable pour inviter sa femme à faire l’amour. Il coule de source qu’on évitera de lui proposer une partie de jambes en l’air si la maison se trouve en désordre. Inutile d’ailleurs de procéder à quelques rangements pour la simple raison qu’on voudrait convaincre madame. C’est que madame a sa propre vision de la propreté.
Toujours selon Émilie, il faut tenir compte de l’apparence de sa femme notamment au niveau de la coiffure. Si son cheveu se trouve dans un état dégradé, on devrait éviter de lui parler sexe. Dans un état pareil, madame se sentira moins appétissante.
Enfin, Émilie estime qu’il serait préférable d’inviter sa femme au lit après que celle-ci ait pris deux ou trois verres de vin. La vérité se trouve dans le vin, nous dit un adage. L’envie aussi alors !