Une question qui mérite une réponse : quel rôle joue les hormones du cycle menstruel dans la sexualité de la femme ? Une question à laquelle Salvatore Caruso tente de répondre dans une étude scientifique. Les résultats de son étude ont aussi montré que les facteurs psychosociaux jouent un grand rôle dans l’excitation.
Si les mammifères femelles connaissent une période sexuel et reproductrice assez limitée, ce n’est pas le cas pour les femelles de la race humaine. En effet, les femmes possèdent une spécificité relative de pouvoir ou vouloir s’accoupler à n’importe quel moment et par envie de leur cycle menstruel. Etant donné que les hommes soient les seuls animaux capables de faire le lien entre la reproduction et le sexe, il est éventuellement possible que ces derniers préfèrent éviter certaines périodes du cycle menstruel de la femme : lorsque cette dernière est plus fertile. Cela permet d’avoir des relations sexuelles dans le plus grand des conforts et en toute tranquillité contraceptive, si on peut le dire de cette manière.
En ce qui concerne vraiment le rôle que joue les hormones sexuelles sur la sexualité de la femme, il semblerait que les chercheurs s’accordent à dire tout simplement que l’action des hormones ne présente pas l’unique facteur ou la réponse sexuelle de la femme. En effet, la vraie réponse sexuelle de ces dames repose sur un ensemble assez difficile à cerner d’influences biopsychologiques.
D’après les résultats des recherches effectuées par des chercheurs dirigés par Salvatore Caruso, il semblerait que le cycle menstruel ainsi que ses fluctuations hormonales joueraient un rôle important dans le comportement sexuel des femmes. En effet, selon les résultats, l’activité sexuelle des femmes s’intensifie à l’approche de leur ovulation. Cependant, ces recherches ne sont pas parfaites étant donné que certaines caractéristiques des participantes n’ont pas été éclaircies comme le dysfonctionnement sexuel, les cycles sans ovulation ou encore d’autres troubles sexuels majeurs. Une recherche à suivre donc.
