Chez les femmes comme chez les hommes, le phénomène d’éjaculation n’est pas du tout méconnu. Ce fait s’explique par la présence des hormones avec un taux assez élevé mais aussi par les contractions musculaires. Il s’agit d’un phénomène naturel qui se produit au moment d’une activité sexuelle. Au moment de l’orgasme, la femme libère un liquide aqueux limpide et inodore. L’abondance de cette sécrétion varie selon l’âge mais aussi en fonction du taux de testostérones et œstrogènes et du bon fonctionnement de l’organisme.
Durant cette phase, le fonctionnement des appareils urinaires sont suspendus puisque l’urètre reste bloqué. A moins d’une présence de lésion, l’urine est retenue jusqu’à ce que l’orgasme prenne fin. Les muscles se contractent pour parvenir à jongler entre ces deux instants.
Durant le cycle menstruel de la femme, il existe une période dans laquelle la sécrétion vaginale arrive en grande quantité. Les caractéristiques de ce liquide, elle est claire, légère et inodore. Entre le quinzième jour et le vingt huitième du cycle, le taux de progestérones de la femme s’élève ajoutant de la vitesse à cette éjaculation. Cette période est connue sous le nom de phase lutéale, juste après la phase d’ovulation. Ce cas se produit fréquemment chez les femmes en bonne santé et rassurez-vous que c’est très normal.
La décharge de ce liquide permet un renouvellement du mucus cervical et vaginal grâce aux activités musculaires effectuées. Généralement elle vient avec un puissant orgasme sexuel. Cela peut se reproduire autant de fois étant donné que ce sont surtout les hormones présentes dans le corps de la femme qui en sont les principales causes.
L’éjaculation féminine s’intensifie avec l’âge. En principe, les femmes dans les trentaines sont les plus concernées par la puissance de ce phénomène. Chez elles, la sécrétion arrive brutalement et en abondance avec l’orgasme au moment de l’acte sexuel.