On connaissait le penchant de JFK pour Marilyn Monroe, mais Mister President était un grand cachotier. Eh bien oui, ce cher Kennedy avait de nombreuses maîtresses bien que sa liaison avec Marilyn n’a pas vraiment était prouvé. Par contre, pour celle avec Marlene Dietrich, cela était le cas étant donné que cette dernière lui rend une dernière visite à la Maison-Blanche le 10 septembre 1963 pour une partie de jambe en l’air rapide ou « quickie » pour les Américains. S’il n’y avait que cela, bien que ce ne soit pas le cas. Monsieur Kennedy était friand non seulement des actrices, mais également des stagiaires, secrétaires et prostituées. Il tirait sur tout ce qui bougeait. Comparé à DSK, Kennedy avait le profil d’un vrai « womanizer ».
Dans les années 60, lorsqu’une amie l’interrogea sur ses relations avec des maîtresses à la Maison-Blanche, Kennedy répond tout simplement : « Oh ! Ce sera bien plus facile, les services secrets me protègeront. » C’est ainsi qu’il coucha avec l’attachée de presse de sa femme Jackie ainsi que deux secrétaires surnommées à l’époque Faddle et Fiddle. Sa femme Jackie n’était pas facile à berner. En effet, alors que cette dernière faisait visiter la demeure présidentielle à un reporter de « Paris Match », elle désigna le bureau de Faddle de son vrai nom Jill Cowan : « C’est la fille qui, paraît-il, couche avec mon mari. » Chapeau monsieur le président.
Pour les prostituées, on ne les compte plus se souvient un agent secret responsable de la sécurité de JFK à l’époque. Selon ses propres mots : « Vous aviez le job le plus prestigieux au Service Secret et vous vous retrouvez à surveiller une porte ou un ascenseur, parce que le président était avec deux prostituées. » Un scandale a failli éclater avec une jeune Allemande de 27 ans, Ellen Rometsch en août 1963. Cette dernière qui était une des call-girls du président a été silencieusement rapatriée chez elle pour faire taire certaines bouches. Bobby Kennedy était celui qui a ordonné l’annulation du visa de Rometsch. Décidément, que de secrets autour de JFK ! Ce qui est certain, c’est que dans le monde d’aujourd’hui, John Fitzgerald Kennedy n’aurait pas duré dix minutes qu’un scandale international ne le fait illico éjecter de son poste.