Si certains ont pratiqué en couple les scènes torrides du roman 50 nuances de Grey pour changer un peu leurs manières de faire l’amour, d’autres n’ont pas pu maitriser les pulsions sexuelles et leurs comportements sexuels à la sortie du film. Explications.
50 nuances … d’arrestations
Au jour de la Saint Valentin, la projection de l’adaptation cinématographique du roman 50 nuances de Grey à Glasgow, en Ecosse, a été troublé par trois femmes âgées de 31, 38 et 51 ans. Elles ont menacé une personne parmi les spectateurs qui les a tout simplement demandés de se tenir tranquilles. La police était obligée d’intervenir au milieu de la salle de projection pour arrêter les trois héroïnes qui ont dérapé. Heureusement que la victime n’a pas été agressée corporellement.
A Rouen, un homme a été appréhendé par la police après avoir commis une exhibition dans une salle de cinéma. Alors que 50 nuances de Grey passait sur grand écran, cet homme de 46 ans a enlevé son pantalon pour pisser vers le public. La projection a été interrompue momentanément lors de la capture de l’homme par les forces de l’ordre.
Après une vie commune de 17 ans, un couple néo-zélandais a rompu. Mais l’ex-mari voulait encore baiser avec son ex-femme. Il l’appâtait en l’envoyant anonymement des sextos issus des chapitres de 50 nuances de Grey. S’ensuivaient bien sûr des rendez-vous anonymes très sexuels. Lorsque la femme a découvert que c’était en réalité son ex, elle l’a accusé de viol et d’usurpation d’identité. Il a été pourtant reconnu innocent par le tribunal.
L’extrême ridicule du sadomasochisme
A l’Ille-et-Vilaine, une femme s’est présentée à l’hôpital de Fougères parce qu’après un jeu sadomasochiste, pendant lequel elle a joué la dominée, la menotte qu’on l’a mis n’a pas pu être retiré. C’est grâce à la police d’Ille-et-Vilaine qu’elle a pu se libérer de la menotte qui l’attachait.
Une femme de la quarantaine a signé un contrat de soumission avec un dominant britannique, Steven Lock. Ce dernier devait comparaitre devant le tribunal à cause des plaintes déposées par sa soumise. Les raisons des plaintes ? 14 coups de fouet très violents infligés par Steven Lock. Le tribunal a déclaré innocent l’accusé, car la femme qui a déposé les plaintes était consentante. Il est à noter que cette femme était dingue de son dominant au point de tatouer son sexe comme propriété de Steven Lock.