Pour cause d’abus sexuel sur des animaux, un vétérinaire britannique s’est vu retirer sa licence de vétérinaire. Il a été filmé alors qu’il faisait l’amour avec un cheval et un chien. Détails.
Filmé en plein délit
Ce vétérinaire londonien d’une vingtaine d’année a été rayé du registre des vétérinaires en Grande Bretagne. La Comité Disciplinaire du Royal College of Veterinary Surgeon (RCVS) a rapporté qu’il a eu des accusations graves pour abus sexuels sur des animaux. Ce présumé vétérinaire qui n’a jamais pratiqué sa profession en Angleterre, aurait eu en sa possession des vidéos sur lequel on le voit faire l’amour avec des animaux.
Les vidéos qu’on a trouvées chez lui et son comportement prouvent l’abus qu’il a commis à ses animaux, selon le Président de la Cominté Disciplinaire. En outre, des images extrêmes d’animaux et d’humains ont été découvertes chez le vétérinaire londonien.
Aurait-il mal compris « l’amour pour les animaux » ?
Ce n’est pas la première fois que ce vétérinaire britannique a été accusé d’abus envers les animaux. En 2012, il a dû comparaitre devant le tribunal de Richmond. Il avait été accusé d’avoir détenu des images pornographiques extrêmes d’humains avec des animaux. En ce temps-là, il a été condamné à une peine assortie d’un sursis.Mais cela n’a pas pu l’arrêter.
Le jeune homme a étudié à l’Université Szent Istvan à Budapest en Hongrie. Il s’est inscrit au Royal College of Veterinary Surgeon (RCVS) en 2013 mais n’y a jamais exercé le métier de vétérinaire.
Il était absent lors de son audition et a envoyé son avocat.
En Grande Bretagne aussi bien qu’en France, la zoophilie est condamnable. L’article 521-1 du Code penal de la loi française (Loi no 2OO4-2O4 du 9 mars 2OO4) est catégorique : » Le fait, publiquement ou non, d’exercer des sévices graves ou de nature sexuelle ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique ou apprivoisé ou tenu en captivité, est puni de deux ans d’emprisonnement et de 7622,45 Euros d’amende. A titre de peine complémentaire, le tribunal peut interdire la détention d ‘un animal, à titre définitif ou non »