Entre censure et liberté sexuelle, photos sexy et érotiques et photos de femmes nues voire même des vidéos de sexe explicite, les plus grands des réseaux sociaux semblent avoir différents principes parfois contradictoires. Explications.
Facebook et Instagram, on joue sur la discrétion
Lorsque l’on pense aux réseaux sociaux, Facebook et Instagram viennent tout de suite en tête. C’est tout à fait justifié puisque ce sont l’un des plus grands réseaux sociaux du monde. Facebook compte environ 1.500.000.000 de membres, quant à Instagram environ 300 millions de membres. Il est clair que toutes publications ayant rapport au sexe sont prohibées sur ces deux plateformes. Essayez de mettre en ligne sur votre compte Facebook une photo de vous nue, vous verrez que vous aurez une notification de Facebook disant que la photo a été supprimée pour cause de publication de contenu sexuellement explicite. La même chose sur Instagram qui interdit les contenus explicites alors que certains comptes ne sont pas surveillés suffisamment pour publier des photos à caractères sexuels sur ces deux réseaux sociaux. La technique qu’utilisent les membres qui veulent partager des contenus pornos consiste à mettre un lien externe menant les utilisateurs vers un site porno que Facebook et Instagram ne peuvent pas contrôler.
Twitter et Tumblr ont opté pour la liberté
Des actrices pornos mondialement connues, des photos animées de sexe, des vidéos de galipettes publiées par des professionnels du X ou des amateurs … Twitter et Tumblr n’ont pas posé de limites. Le sexe y est parlé ouvertement sans censures ni filtres. Avec 300 millions et 230 millions de membres respectivement pour Twitter et Tumblr, ce sont les plateformes qui donnent l’opportunité aux accros du sexe d’échanger des contenus explicites.
Ces plateformes vivent de visites, de j’aime ainsi que de contenus qui génèrent plus de visites, d’où leur ouverture par rapport aux publications aux contenus explicites.