Ceux qui ont des développés des thématiques liés au porno sur leur blog enregistré sur Blogger ont reçu une menace de suppression de Google dernièrement. Visiblement, trop de monde n’aurait pas apprécié. Le Géant a fini par réviser ses intentions.
Verdict tombé fin février 2015
Le jour du 24 février, Blogger, la plateforme d’édition de blogs appartenant à Google, annonçait un projet moins plaisant à ses aficionados. Les contenus sexuels explicites seront désormais bannis de la plateforme. Même la simple nudité sera exclue du site à partir du 23 mars en l’absence d’un intérêt important pour le public. La nudité associée à l’art et la science sera toutefois tolérée.
Une autre révision après celle de 2013
Tout le monde n’a pas loupé la première interdiction du genre lancée par Blogger il y a deux ans de cela. La raison de ce changement de règlement au niveau de la plateforme était liée à la même question de pornographie. Plus précisément, la prohibition se portait sur la monétisation des audiences des blogs sexuellement explicites à travers les publicités. Le site 9to5Google a accordé quelques lignes là-dessus, prenez le temps de faire un survol pour plus de détails concernant le sujet.
Sommes-nous toujours au temps des polémiques ?
Évidemment, les tollés autour de la censure de photo sur les réseaux sociaux et les plateformes similaires ne connaitront pas de fin. Lequel d’entre nous est prêt à oublier les tapages formés autour de la suppression par Facebook du tableau de Gustave Courbet intitulé « L’Origine du monde ». Les chicanes autour des photos des seins de femme en train d’allaiter sont toutes fraîches dans nos souvenirs.
Notons également que Google n’est pas le seul qui veut jeter le pavé dans la mare. Pas plus tard qu’en mars 2014, Vine, l’application hébergeant des vidéos appartenant à Twitter, a annoncé la suppression de contenus explicites sur sa plateforme.
Marche arrière
Mais la nouvelle ravira plus d’un. Google a décidé de faire marche arrière concernant cette décision. La raison, le géant américain a enregistré un maximum de réclamations de réviser ses positions. Eh oui, vox populi vox « Google ».