Certaines matières avec lesquelles on fabrique les sextoys vieillissent mal avec le temps et peuvent provoquer un problème de santé si on n’y prête pas attention. À l’évidence, le Jelly est la plus nocive d’entre elles. Les sextoys composés de cette matière se caractérisent par leurs aspects caoutchouteux et colorés semblables aux célèbres bonbons en forme d’ours.
Sur ce cas, je vous présente 2 modèles de sextoys fabriqués principalement à partir du Jelly, qui a subi les affres du temps et, par la même occasion, des mutilations inexpliquées.
Le premier modèle est un rabbit en Jelly délaissé intentionnellement dans un fond de tiroir. On remarque facilement des effritements et des décollements sur une grande partie de sa surface. Par ailleurs, on sent que la dureté de l’objet n’est plus ce qu’elle était, le sextoy est devenu mou. Seulement, cet accessoire a très peu servi, la seule faute concevable que j’ai commise est peut-être le rangement des sextoys dans un même espace.
Le second modèle est un classique, c’est un gode Briana de chez le fabricant doc Johnson. À première vue, sa couleur d’origine a viré en une couleur vert marron improbable que même une grand-mère regretterait d’avoir laissé côtoyer son intimité. Le deuxième inconvénient martyrise tout autant les autres sens. En effet, le gode présente une odeur et un gout irritant à la limite du supportable. Il faut noter que ce petit jouet n’était pas aussi appétissant même à l’achat, mais ce changement de couleur et les réactions odorantes qui l’ont animé ne se prêtent plus au jeu sexuel auquel il était destiné.
Pour éviter ce genre de désagrément, il faut mieux se tourner vers des modèles plus surs malgré la différence de prix. Il faut payer cher la qualité d’un jouet qui va amuser notre minou.