Japon, cet archipel asiatique où l’essor de la technologie et la félicité sont les étiquettes qui y sont apposées. Mais derrière cette belle image d’harmonie se cache un fait qui caractérise les Nippons, particulièrement les Japonaises : c’est qu’elles sont les moins disposées à faire l’amour. Mais pourquoi ?
Et les Japonaises se ruent vers l’abstinence.
Mythiques, les Geishas à la sensualité très prononcée qui vénèrent l’ « empire des sens » sont déjà loin pour faire rêver le monde qui aspirait cette culture venue d’ailleurs. Actuellement, toute la vie des Japonais tourne autour de la technologie que le sexe semble être en sommeil. Les études ont montré que les Japonais délaissent les activités sexuelles avec 48 rapports sexuels par an, moins important que ceux des 164 des Grecs et des 120 des Français. Même le gouvernement veut tirer la sonnette d’alarme pour craindre un déclin démographique. Mais que font les couples au lit ?
Certes, la civilisation japonaise était basée sur le machisme : le monde aux hommes, les femmes sont soumises. Mais cette discrimination se fait également sentir dans les milieux sociaux. Dès le plus jeune âge, à l’école, garçons et filles ne peuvent avoir aucun contact, ce qui engendre une appréhension quand vient le moment de se connaître mieux.
Les Japonaises ont alors un regard qui définit les hommes comme un dominateur, pire encore, comme un tyran qui décide de tout, même au lit. Et comme contestation, elles préfèrent parfaire leur carrière, vivre intensément leur célibat et parcourir seules leur chemin.
La plupart des Japonaises éprouvent une aversion aux rapports sexuels, car elles n’ont pas bien vécu leur « première fois », ou elles ne veulent pas suivre les pas de leurs ainées qui ont dû seulement satisfaire leurs maris sans en éprouver du plaisir.
En tout cas, les Japonaises d’aujourd’hui préfèrent fantasmer sur les escorts boys et leur look féminin. Elles aiment mieux admirer la beauté et la chorégraphie structurée du boys band que de penser à faire l’amour ou à pratiquer la masturbation. Les japonais, eux, ont déjà des leurs poupées en silicone qui obéissent à leurs instincts sexuels provoqués par les mangas X ou les aventures amoureuses virtuelles.