Montre-moi ton nez et je te dirai comment est ton pénis … Les idées reçues sur le sexe et les rapports sexuels sont nombreuses. Certains sont en partie vrais, mais d’autres ne sont que des mythes. Le point sur 5 de ces mythes sur le sexe dans cet article.
Mythe 1 : On peut perdre du poids par le sexe …
…. pensent certains. Une étude américaine publiée sur Pubmed, le journal scientifique de la médecine, a prouvé qu’on ne pourra pas perdre du poids en faisant l’amour. Le sexe n’est pas comparable au vrai sport, car lors d’une relation sexuelle, on ne perd que jusqu’à 125 Kcal, ce qui est équivalent à une promenade tranquille.
Mythe 2 : Le nez d’un homme en dit beaucoup sur son pénis
Des chercheurs ont pourtant prouvé qu’il n’y a pas de relation entre la forme du nez et le pénis. D’ailleurs, ni la taille des mains et des pieds n’influencerait pas celle du gland. Une étude conduite par le Dr. Aaron Carroll et Dr. Rachel Vreeman de l’Indiana University School of Medecine a démontré ce fait en observant 150 hommes.
Mythe 3 : Le sexe provoque des accidents cardiaques
Sur ce point, vous pouvez faire l’amour tranquillement. Un homme qui n’a pas le diabète et qui ne fume pas, a une chance sur un million d’avoir un accident cardiaque lors d’un orgasme.
Mythe 4 : Les idiots baisent mieux que les intelligents
Il est vrai que l’éducation et le sexe pourraient avoir un rapport mais de là à dire que le niveau d’intelligence (ou d’inintelligence) joue un rôle quand on fait l’amour serait un peu exagéré. Ce qui a été prouvé scientifiquement est le fait suivant : celui qui baise tout le temps ne peut plus se concentrer sur les études selon l’United States Military Academy et l’Université de Colorado qui ont effectué un sondage auprès d’environ 4000 femmes âgées entre 20 et 24 ans.
Mythe 5 : Les chauves sont plus performants
Certains hommes chauves se sont réjouis de mythe. On dit qu’ils n’ont pas de cheveux, mais ont par contre plus de taux de testostérones dans le sang ce qui expliquerait leur performance inégalable au lit. Ils vont être déçus, car l’hormone n’est pas le seul facteur qui influence la libido.