Fixer son objectif sur une beauté, quel qu’en soit le sujet. Prendre des photos de la réalité et en faire un art avec ce cliché spontané. Les photographes professionnels, ou ceux d’un jour arrivent toujours à mettre un mot sur leurs tirages. Mais il y en a une comme photographe qui fige l’instant où un pénis arbore son « esthétique » !
Un intérêt sur l’image d’un pénis à « développer » !
Autrefois déjà exploré, « l’art de la photo du pénis », qui, à cette époque, intéressait seulement les exhibitionnistes, refait surface avec une photographe du nom de Soraya Doolbaz. Elle se veut être celle qui arrive à « mettre en valeur » l’image d’un pénis en le photographiant, non dans son aspect habituel, mais avec une certaine fantaisie avec des « photos de bite en twist ».
C’est vrai, il y a de l’art dans cette activité parce que, et le décor, et la lumière et l’habillement sont soigneusement arrangés pour donner une allure flippante et originale au pénis.
Dick Gallery, c’est ainsi que s’intitule son projet qui met le bijou masculin dans des habits assimilés à ceux des différentes poupées pour lui donner des allures plaisantes. Et avec humour, elle a su choisir des surnoms en allusion à leur tempérament : Napoléon Bonaparte, Staline, Mussolini, Fidel Castro, Adolf Hitler, mais aussi Don Drapper, Nicky Minaj ou Donald Trump.
Son atelier est un véritable studio, et comme astuce pour parfaire ses clichés : le modèle se fait « chapeauté » par sa partenaire pour avoir une érection constante du pénis.
Appréciée par les critiques pour son « Art », Soraya Doolbaz est invitée à Miami, lors de la grande manifestation internationale d’art, l’Art Basel. Elle y exposera ses « bites » dans leur apparat, une belle consécration pour son art qui, d’ailleurs, a connu du succès auprès des consommateurs de belles images. Elle a dit : «Il y a deux ans, quand j’ai pris ma première photo de bite, je ne pensais jamais que je serais ici aujourd’hui, à vendre des éditions limitées à Miami pour 10.000 dollars pièce».