Fermes, rebondies ou bien galbées, une belle paire de fesses fait toujours plaisir à voir! Certains ont une envie instantanée de les mordre, d‘autres de donner une bonne fessée pas méchante. Et ils ont raison car les fessées coquines agissent positivement sur le cerveau.
Fessées et méditation, une composante érotique
Si un quart des couples français pratiquent les fessées érotiques, c‘est qu‘il y a sûrement une bonne raison. Il ne s‘agit pas ici de fessées qui font mal mais, au contraire, des fessées qui expriment l‘envie et qui agissent également sur la libido de l‘autre. Une équipe de chercheurs anglo-saxon s‘est penchée sur le sujet. Les chercheurs ont pu découvrir que ce jeu coquin agit directement sur une zone du cerveau tout comme lorsqu‘on fait de la méditation. L‘effet immédiat consiste à lâcher prise, ce qui rend les fessées destressant en quelque sorte, et qui entraine le couple dans une séance ludique et érotique à la fois.
Stimulation de la partie coquine du cerveau
En fait, les fessées érotiques s‘accompagnent de gestes et de sentiments assez complexes mais tout aussi excitants: celui/celle qui frappe donne l‘impression d‘être méchant. Par contre, associées à leur caractère punissant, elles sont faites tendrement, donc n‘engendrent pas de douleurs. Les fessées érotiques deviennent alors un signe de sentiment de dominance et de tendresse à la fois. Si dans l‘enfance, cette pratique n‘est pas du tout une partie de plaisir, entre adultes, la fessée prête une forme érotique qui stimule la partie coquine du cerveau. Les effets psychologiques qui vont avec sont des plus excitants, voire même orgastiques pour ceux/celles qui sont hypersensibles sur cette région du corps. Il n‘est pas étonnant que le dictionnaire de l‘Académie de l‘humour français qui date de 1934 considère la fessée comme » la terreur des gosses, l‘espoir des vieillards. »