A l’heure où la huitième de finale vient de commencer, la discussion sur le sexe et la Coupe du Monde n’en finit pas. Scientifiques, sélectionneurs, joueurs, tous n’ont pas le même point de vue quant à l’abstinence avant les matches. Observons les résultats pour voir la tendance !
Les abstinents et leurs résultats
Les Belges, premiers dans son groupe, n’ont connus aucune défaite sur deux matchs. C’est aussi le cas du Chili dont l’entraineur M. Sampoli interdit à ses joueurs non seulement le sexe mais aussi le soda !
Mais pour le reste, l’abstinence n’a pas apporté le succès tant escompté : le Ghana et la Corée du Sud ont connus un match nul contre une défaite. Encore pire pour la Bosnie et le Cameroun qui ont deux défaites sur deux matchs.
Non-abstinence et performance molle ?
Si on analyse les résultats des équipes auxquels les sélectionneurs n’ont pas privé de sexe, la tendance est plutôt positive. Les Bleus par exemple ont eu deux rencontres et en sont sortis vainqueurs à chaque fois. Le Brésil, les Etats-Unis et l’Allemagne affichent une victoire et un match nul. Le premier a opté pour du sexe avec modération, le deuxième et le troisième pour une liberté totale.
Seul les espagnols et les italiens n’étaient pas au top malgré leur non-abstinence.
Malgré cela, on constate ici une tendance vers un OUI pour le sexe pendant le Mondial.
Le sexe n’est pas le problème !
Le sexe tout comme tout autre activités avant un match est géré instinctivement par le joueur. Consciemment, il maitrise ce qui doit faire et ce qu’il ne peut pas faire avant un grand match. En plus de son statut de footballeur, c’est surtout un professionnel !
Donc sexe ou pas avant d’entrer sur le terrain, là n’est pas vraiment le problème. Le sexe fait seulement partie d’un groupe d’activités qui eux, sont plutôt nocifs aux performances d’un joueur : la fête, la fatigue, l’alcool, le manque de sommeil.