Aujourd’hui, de plus en plus de personnes consomment abusivement et intensivement de la pornographie qui est vite devenue un mouvement de masse à l’heure d’internet. En effet, depuis qu’il est devenu facile d’accéder à cette dernière du fait de la gratuité de la plupart des sites internet pornographiques, la demande ne cesse d’accroître, et l’offre suit automatiquement. L’anonymat arrange également toutes ces personnes perverses et en manque de sexe.
D’après un sondage réalisé par l’IFOP en octobre 2013 auprès de la population française âgée entre 15 et 24 ans, les résultats montrent que 35 % des filles interrogées et 69 % des garçons auraient déjà surfé sur des sites à caractères sexuels. Sur le moteur de recherche Google, si l’on insère le terme « porno », il en résulterait plus de 1,2 milliard de résultats. Il en va de même pour « fellation » avec 500 millions de résultats.
Selon les analyses de tendances de Google donc, le thème pornographique connait une très grande popularité et est en croissance depuis le milieu de l’an 2000. Ces analyses montrent également une fidélité des utilisateurs, mais aussi une augmentation de la consommation dans les personnes nouvelles sur la toile.
Devrait-on encore s’étonner de cela ? Eh bien non, la pornographie sur internet, bien que non réelle et virtuelle touche l’homme tant la femme dans l’une de ses fonctions physiques les plus puissantes : le sexe. Cela réveille l’instinct primaire et animal chez l’homme avec un grand H d’autant plus que la pornographie facilite la recherche naturelle du plaisir. Elle donne à l’homme de quoi assouvir et développer ses fantasmes les plus inaccessibles dans la vie réelle. Toutefois, il existe de nombreux effets dont la plupart néfastes ainsi qu’un impact sur la population tant masculine que féminine, bien que discret, cela reste quand même important.