Tinder, Grindr et cie font partie des applications mobiles de rencontres rapides qui ont fait pas mal d’accros ces derniers temps. Un sondage a été effectué pour découvrir la face cachée de ses applications. Détails.
La qualité laisse à désirer
Rien de tel que d’installer une application sur son smartphone pour trouver et rencontrer des gens en un temps record. Ces applications sont amusantes, attrayantes de par sa simplicité d’utilisation. Elles sont aussi efficaces, car nombreux sont les célibataires qui ont pu rencontrer rapidement des personnes et baiser avec, rapidement aussi.
Bondara, le distributeur de sextoys, a fait une enquête concernant ces plateformes mobiles très pratiques à premier abord. Le résultat de l’étude est relativement inquiétant, car il a été révélé que ces applications n’auraient pas l’effet escompté sur la vie sexuelle de leurs utilisateurs.
En effet, si on s’attendait à avoir une vie sexuelle plus épanouie, l’utilisation de ces applications la rendrait pire qu’avant. Du moins, c’est ce que confirment les personnes ayant participé au sondage de Bondara. Selon eux, le sexe express que permettent ces applications n’offre que la quantité au dépit de la qualité : ni la durée, ni le niveau d’excitation, ni le confort, ni la satisfaction en général ne sont au rendez-vous. La preuve : 47% des femmes qui ont fait des rencontres rapides avouent avoir simulé l’orgasme.
Le porte-parole de Bondara explique que « nombreuses sont les personnes qui aiment les plaisirs fugaces (…) mais un bon coup en fait rarement partie. »
C’est hyper addictif
Sally, 29 ans, habitant Londres, a témoigné qu’avant d’utiliser Tinder, elle était une monogame endurcie. Puis, elle en est devenue accro malgré les échecs de rencontres (elle a rencontré 57 hommes en un an). Elle a avoué avoir eu une relation sexuelle pas pour l’attirance physique ou pour l’envie, mais seulement parce que l’autre a payé £300 pour la chambre.