Entre le « dire » et le « faire », il y a une grande différence. Ceux qui n’y croient pas peuvent se référer à l’histoire de Kristina Knapic. Cette Californienne a loué son domicile à des étrangers afin que ceux-ci en fassent un logement pour les vacances. Contrairement à ce qui était convenu, les locataires ont transformé l’endroit en un lieu de tournage pour des films pornos. Gare aux crises cardiaques !
L’histoire se passe en août à Ojaj, quelque part en Californie. Michael Lucas et son équipe ont réservé la maison de Kristina Knapic pour les vacances d’été. Leur ruse : avoir réservé au nom d’une certaine « Anna ». Au moment de récupérer les clefs, M. Lucas trouve alors le moyen de convaincre Kristina Knapic en prétextant qu’il est le beau-frère de la locataire. Ne s’étant doutée de rien, la propriétaire leur laisse son logement pour une durée de cinq jours.
Une fois revenue chez elle, la propriétaire de la maison se retrouve devant un spectacle pas pour le moins étrange. Elle découvre des sex-toys sur les lits et dans la poubelle. Elle aurait mis également la main sur des « kits de lavements » à l’intérieur d’un tiroir. Kristina Knapic tire la conclusion par elle-même : ses locataires ont tourné des films classés « X » dans son domicile. Les intéressés eux-mêmes ne nient pas les faits.
Kristina Knapic réagit mal à la scène dont elle fut la spectatrice. Elle décide d’intenter un procès contre ses locataires. La maison de production Lucas Entertainment comparaitra donc devant le juge pour dégâts matériels, rupture de contrat et «dommages psychologiques ». Dans le cadre de cette affaire, le prix du dédommagement exigé par la propriétaire s’élèverait à 30 000 dollars soit l’équivalent de 28 000 euros.
Il faut dire que « Anna » s’est bien régalée pendant les 5 jours passés chez Kristina Knapic. La preuve, elle y a laissé quelques souvenirs en guise de remerciement. Et on dit quoi ? Merci monsieur Lucas.