« Bonjour, je voudrais savoir si vous avez un godemichet de 38cm de long et de 4cm de diamètre en stock » … On peut bien imaginer les discussions téléphoniques que cette retraitée septuagénaire reçoit au quotidien, juste car le numéro de son téléphone fixe est celui d’un ancien sex-shop. Détails.
Elle n’est pas la bonne personne
Tout a commencé il y a 1 an, lorsque la retraitée du nom de Réjeanne a décidé d’emménager dans une maison de retraite à Verberie pour personnes autonomes. Suite à une maladie cardiaque, elle voulait vivre une vie tranquille mais également habiter près de sa fille, d’où son déménagement. Pour assurer sa tranquillité, Réjeanne s’est inscrite dans la liste rouge. Son numéro de téléphone n’est donc pas répertorié dans l’annuaire. Pourtant, elle reçoit incessamment des appels venant de personnes qui veulent acheter des … sextoys. Réjeanne reçoit jusqu’à quatre appels par jour et les gens l’appellent pour commander des joujoux sexuels, des demandes qu’elle ne peut naturellement pas satisfaire, car si elle a emménagé, c’est pour avoir une retraite tranquille.
Des hommes mais aussi des femmes veulent avoir tous des sextoys
Évidemment, les appels que Réjeanne reçoit la fatigue, car elle est obligée décrocher puis d’expliquer qu’elle ne vend pas de sextoy et qu’elle n’en a pas non plus. En réalité, le numéro qu’elle a hérité était un numéro d’un ancien sex-shop. Nous ne voulons pas nous moquer de sa situation pénible, mais une chose est sûre : hommes et surtout aussi femmes sont intéressés par les sextoys. Une autre révélation issue des informations que Réjeanne a fournies est qu’il existe bel et bien des (jeunes) hommes qui s’intéressent aux femmes retraitées. Une fois, lorsqu’elle a eu un appel émanant d’un homme, et qu’elle a répondu que ce n’est plus le numéro du sex-shop, l’homme s’est mis à lui proposer un plan sexe. Pour l’aider, la fille de Réjeanne a déposé une demande de changement de numéro auprès de l’opérateur en question.