Qu’est-ce qu’une femme ne ferait pas pour entretenir son visage ? Certainement, n’importe quoi ! Et pour donner bonne mine à son vagin ? Probablement la même chose. Les sondages nous montrent clairement que le nombre de femmes qui se portent candidates à la chirurgie esthétique du vagin n’a cessé d’augmenter. Aujourd’hui encore, une nouvelle forme d’opération a vu le jour : le vontouring.
Refaire le visage de son vagin
Si le contouring s’effectue habituellement au visage, les spécialistes en chirurgie esthétique ont eu l’idée, ou l’audace, de l’appliquer au vagin. Ce qui a donné naissance au vontouring. Probablement, le nom fait allusion à « vagin » et « contouring ». Cette nouvelle forme de technique vient donc s’ajouter aux nymphoplastie, monsplastie et vaginoplastie.
Toujours dans le souci de corriger certaines imperfections, le vontouring adopte le même principe que le contouring. La seule différence se trouve au niveau de la technique. Le contouring s’effectue simplement au moyen du maquillage alors que le vontouring nécessite une intervention chirurgicale.
Dans son ensemble, ce contouring du vagin consiste à appliquer une source de chaleur intensive au moyen d’un appareil spécial. Cela aura ensuite comme réaction une production de collagène en abondance.
Une intervention à risque ?
Bien que le vontouring promette en termes de résultat, il semble peu encourageant du point de vue technique. On ne peut s’empêcher de se poser la question si l’opération ne comporte aucun risque.
Afin de convaincre leurs futures clientes, les chirurgiens qui proposent le vontouring insistent sur le fait que l’opération n’exposera les patientes à aucun risque. Après tout, un adage nous dit qu’il faut souffrir pour être belle. Alors, pourquoi ne pas tenter le risque pour avoir un joli petit minou ?
Avec ces divers types d’opération à en plus finir, les chirurgiens semblent promettre la lune aux femmes. Rien de vraiment étonnant ! Nous nous trouvons à une époque où tout devient possible. Il suffit de consulter son catalogue et de commander. La même règle s’applique dans le domaine de la chirurgie esthétique. En ce qui concerne l’efficacité de ces opérations, on en donnerait sa langue au chat (ou à la chatte ?).