Financé par son petit ami, un mannequin a dépensé la somme astronomique de £30 000 en chirurgie esthétique pour ressembler à une poupée gonflable. Désir personnel ou celui de son petit ami ?
Selon Victoria Wild, âgée aujourd’hui de 30 ans, cette obsession à vouloir ressembler à une poupée a commencé lorsqu’elle n’était encore qu’une adolescente. « J’avais une enfance très normale, vivant dans un petit village dans la campagne. J’étais très mince et blonde et les villageois m’appelaient Barbie mais je détestais mes petits seins. J’avais un complexe d’infériorité. Je n’aimais pas le physique que j’avais. Je ne connaissais pas la chirurgie esthétique à cet âge-là mais j’ai toujours rêvé de ressembler à une poupée sexy avec de grosse poitrine et des lèvres énormément pulpeuses. J’aimais la manière dont les poupées étaient créées et leur allure sexy. Elles sont si brillantes et pulpeuses. C’était cette image fantaisiste qui s’encrait dans ma tête », a-t-elle dit.
Toutefois, lorsque Victoria a commencé à défiler à l’âge de 20 ans, elle a pris conscience de l’existence de la chirurgie esthétique. « J’ai pris connaissance des opérations chirurgicales des seins et de la chirurgie esthétique. Puis je me suis rendue compte que la réalisation de mes rêves était possible. Je pouvais alors devenir la poupée sexy et bimbo que je prévoyais d’être dans ma tête » raconte-t-elle.
C’est ainsi que Victoria a subi trois premières interventions chirurgicales au niveau de sa poitrine pour que ses seins soient énormes avec un bonnet de 32G en 2011. Pour cette intervention en Hongrie, elle avait dépensé £25 000. Cette année, elle a subi une opération du nez à £3000 tandis que l’implant des lèvres et le botox lui ont coûté £2000.
Depuis, elle se sent bien dans sa peau et se sent plus heureuse qu’elle ne l’était auparavant. Habitant à Cannes, la bimbo admet qu’elle adore l’attention qu’elle reçoit depuis les transformations qu’elle a subies. « Les gens dans la rue me fixent et j’aime la manière dont on me remarque» dit-elle. Par ailleurs, elle rajoute que son petit ami, Simon, aime son physique de poupée sexuelle, et même qu’il est fier de l’attention que les passants lui accordent.
« Qui ne voudrait pas être traitée comme une poupée bimbo ? C’est sexy.» dit-elle fièrement.
Enfin, grâce à sa nouvelle apparence, la poupée gonflable humaine, a obtenu pas mal de propositions de travail en tant que mannequin glamour. « J’aimerais devenir célèbre en étant une poupée sexuelle » ajoute-t-elle.