Un grand mystère qui prête à confusion, le désir sexuel. Il est tout à fait naturel de ressentir des désirs sexuels, mais parfois lorsque ceux-ci disparaissent ou diminuent pour un certain temps, cela perturbe et fait poser des questions. Pour tout savoir sur le désir sexuel, rien de tel qu’un avis de professionnel.
D’après les spécialistes, la première chose à connaitre concernant le désir sexuel est que ce dernier a besoin d’hormones pour fonctionner. Cela explique bel et bien son apparition à la puberté puisqu’avant d’entrer dans cette période, les enfants ne présentent pas de désir comme dans les cas des adultes, mais ne font que s’intéresser et sont curieux à propos de tout ce qui touche à la sexualité.
Concernant l’hormone entrainant ce désir, c’est la testostérone que ce soit chez la femme que chez l’homme. C’est celle-ci qui transforme l’enfant en adolescent en faisant pousser les poils, muant la voix, mais surtout donne de l’acné.
Pour entrer dans les détails, les 5 sens sont les principaux stimulants et déclencheurs du désir sexuel. Pour le cas de la vue, l’homme est ordinairement stimulé par le corps d’une femme : courbes, poitrines, fesses et hanches. Une stimulation naturelle provoquant une réaction de désir. Dans le cas de l’ouïe, on peut citer les chuchotements dans l’oreille, une chanson érotique ou encore certains bruits. Pour l’odorat, un léger parfum ou la senteur naturelle du corps de l’autre ; pour le goût, c’est la saveur de la peau de l’autre. Tout cela peut déclencher le désir sexuel. Le sens du toucher bien évidemment avec les caresses, les baisers et les câlins qui entrainent souvent un désir sexuel très accru.
Outre les 5 sens, il y a d’autres facteurs qui peuvent provoquer le désir sexuel comme une attitude : le courage, la générosité, la force et d’autres encore. De nombreuses émotions positives ou négatives peuvent de ce fait engendrer le désir sexuel. Et enfin, le plus grand facteur de désir sexuel est bien évidemment le fantasme. C’est celui-ci qui alimente le plus le désir comme une pensée coquine de l’autre.