Bonne nouvelle ou mauvaise nouvelle : la Chine se réveille. À peu près un an que les grèves se sont succédé dans les usines chinoises. En effet, une cause très logique puisque les différences entre les classes sociales chinoises ne cessent de se creuser encore plus. La Chine qui a longtemps été reléguée au rang de fabricants à coût bas par les pays occidentaux voit rapidement son économie augmenter et se développer de manière exponentielle. Un revers de la médaille quant à la Chine qui s’enrichit, mais sans que ce ne soit le cas pour toutes les classes sociales.
Cet enrichissement profite surtout à une certaine classe sociale aisée de la population ainsi que des entrepreneurs locaux. Comme mentionnés précédemment, les écarts se creusent encore plus et les tentations des richesses qui sont exposées dans les grandes villes suscitent la colère dans la classe ouvrière qui est la classe populaire. La Chine n’ayant plus rien à envier aux autres pays développés de l’Occident et du Moyen-Orient ; les ouvriers veulent leur part concernant cet enrichissement. Il est alors normal que ces derniers fassent la grève et refusent qu’on les exploite pour un bout de pain vu les conditions de travail des ouvriers qui triment encore et encore ; et pourtant ne voient pas leurs efforts récompensés comme il se doit.
Pour pallier cette injustice, les salaires de la main-d’œuvre ouvrière ont connu des augmentations fulgurantes jamais vues auparavant. Une mesure honorable qui mérite des félicitations pour cette équité des richesses qui profitent à toutes les classes sociales. Toutefois, cela va sans dire que cette mesure occasionne de nombreuses conséquences pour les Occidentaux et les autres pays du monde. Comme nous le savons tous, la plupart des objets présents chez une très grande partie de la population mondiale proviennent de Chine : vêtements, meubles, appareils électroniques et électriques, chaussures et autres. Les sex-toys n’échappent pas à cette règle. En effet, avec l’équité des biens partagés entre les différentes classes sociales ; le résultat est bien évidemment les augmentations des coûts de production. Il est à noter que dans le monde des sex-toys, plus de 90 % de ces derniers qui sont commercialisés sur tout le globe sont de fabrication chinoise. À l’exception près de certaines marques comme Tenga ou Fun Factory qui sont de fabrication japonaise et allemande. Même la marque américaine Doc Johnson ainsi que la Suédoise Lelo sont de fabrication chinoise.