Alors que les dirigeants du magazine « Playboy » américains ont décidé de laisser le « nu » dans leur tiroir à partir de ces premiers mois 2016, le photographe de la version brésilienne a promis, avec l’aide de deux associés, de continuer à offrir encore aux lecteurs de la nudité.
« Le Brésil mérite des nus », le nouveau slogan d’André Sanseverino.
C’était en 1975 que « Playboy » s’est invité sur les étagères brésiliennes, 40 plus tard, l’édition Abril veut mettre fin à cette aventure en mettant à la Une et comme couverture la blogueuse Lu Ferreira. Et c’est avec une tristesse que les collectionneurs ont appris la nouvelle, ainsi que les 12 salariés de cette maison d’édition.
Mais André Sanseverino ne l’entend pas de cette oreille, ce photographe de la version brésilienne veut absolument pérenniser ce genre de magazine en promettant aux Brésiliens que les photos de femmes nues, dans leur beauté naturelle, seront encore leur première activité. Avec deux nouveaux associés, Edson Oliveira et l’entrepreneur Marcos de Abreu, le photographe va relever le défi.
Il est donc évident que des « poitrines généreuses » et des « fesses rebondies » feront encore la couverture de ce nouveau magazine issu de la lignée de « Playboy ». Et avec cette nouvelle version, André Sanseverino a parlé d’une extension des activités comme des sites internet, des organisations évènementielles et de manager des carrières de stars. C’est une société qui sera créée et que le magazine ne sera qu’une branche pour renouer avec la « traditionnelle essence » de l’ancien playboy.
Notons au passage que c’est avec l’édition de décembre 1999 que le Playboy brésilien a vraiment connu un record avec 1,25 million d’exemplaires vendus avec comme couverture la plastique du mannequin Joanna Prado. Et qui arrivera à en faire davantage ?