Entre le « oui » et le « non » dans les préliminaires haletants, il y a un fossé ! Les hommes doivent ainsi savoir recevoir le message pour que le consentement ne soit pas assimilé à une…agression sexuelle !
Quand les hommes parlent du « oui » et « non » des femmes !
Les hommes, on le sait, ont l’envie trop près qu’ils ont tendance à oublier que le dernier mot appartient aux femmes, sauf dans des rares cas où une femme commet un « harcèlement » si pressant que l’homme se sent menacé par une « mante religieuse » transformée en…nymphomane.
Plusieurs témoignages d’hommes ont alors été recueillis sur le consentement ou non d’une partie de jambes en l’air :
- Un « non » catégorique, il faut s’y référer ! Quand la femme dit « non », c’est explicite ! Renaud, 23 ans, respecte la décision de la fille, « Même si tu es déçu, qu’est-ce que tu veux faire? ». Guillaume, 27 ans, va même jusqu’à dire: « Je pense que les hommes ne font pas attention en général. Je pense qu’il y a des gens qui banalisent le oui et le non chez les femmes par rapport à la sexualité, qui banalisent la décision de l’autre. »
- Un « savoir s’arrêter » doit aussi être un réflexe des hommes quand ils s’aperçoivent une gêne chez les femmes. « Tu ne vas pas t’obstiner sur une fille qui ne veut visiblement pas de toi… Pas parce que j’avais peur [de commettre une agression], précise-t-il. J’aime que la fille avec qui je suis ait du plaisir. Si elle n’en a pas… », dit Richard, 46 ans.
- Une « aguicheuse » qui « agace » ! Oui, certaines filles aiment tant jouer sur le désir des hommes que ces derniers le prennent comme une…avance, seulement, il faut savoir se retenir en se contentant d’un simple regard, comme le précise Richard : « Regarder une fille avec intérêt ou de manière lubrique, ce n’est pas un crime. Si une femme s’habille de manière révélatrice, ça ne justifie pas un viol, mais la regarder n’est pas un crime… »
Messieurs, vous savez maintenant ce qu’il faut faire devant de telles situations !