Une atteinte aux mœurs publiques
En effet, la loi sanctionne toute forme d’exhibition sexuelle en public de quelque manière qu’elle soit. Ainsi donc, comme la mer et la piscine relèvent d’un domaine public, il est strictement interdit d’avoir des relations intimes dans ces lieux. Et pour dissuader les amants les plus têtus, une amende de 1 500 € ainsi qu’une année d’emprisonnement sont prévues par la loi.
L’eau n’est pas un lubrifiant efficace
En matière de relations sexuelles, il est à savoir que l’eau ne constitue pas un bon lubrifiant intime. Tout au contraire, l’humidité intime et naturelle du vagin est mise à mal en présence de l’eau. Ce qui causera inévitablement une rupture du préservatif à la suite des frottements intimes, qui conduira par la suite à une grossesse non désirée ou voire des maladies sexuellement transmissibles.
La sécheresse vaginale est à prévoir
Lors des rapports intimes dans l’eau, il est plus que possible que la femme soit victime d’une sérieuse sécheresse vaginale comme l’eau est tout le contraire d’un lubrifiant. Des douleurs vaginales ainsi que des irritations des organes génitaux féminins seront donc à prévoir à la suite ou voire pendant ces rapports un peu spéciaux.
Le chlore est mauvais pour le sexe
En plus de ne pas être un bon lubrifiant intime, l’eau de la piscine n’est pas propice aux relations sexuelles. En effet avec la forte teneur en chlore de celle-ci, cette eau peut parfaitement être à l’origine d’irritations pour la vulve mais aussi pour le vagin.
Des microbes à profusion
Enfin, que ce soit la mer ou une toute autre eau naturelle, que ce soit la piscine, les bactéries et les autres microbes se retrouvent en abondance dans ces endroits. Ce qui doit inciter à plus de prudence !