Dans une relation sexuelle, chaque partenaire cherche des endroits pour procurer plus de plaisir à l’autre. Alors, pour vous aider à atteindre votre objectif dans ce domaine, les Universités de Bangor et Swansea au Royaume-Uni et de Witwatersrand en Afrique du Sud ont effectué une enquête afin de savoir un peu plus sur ces endroits de votre corps où la caresse est plus intense qu’ailleurs.
Afin de réaliser cette étude, l’équipe de chercheurs a pris un échantillon de 800 personnes qui viennent de Grande-Bretagne et d’Afrique Sub-saharienne. Ces échantillons doivent noter les 41 différents endroits anatomiques ainsi que l’intensité de plaisir que leur caresse offrirait.
Les résultats de l’enquête pour les femmes
Outre les parties génitales qui ont obtenu la note supérieure sur leurs capacités à exciter, découvrez les autres parties du corps qui donnent plus d’effets. D’abord, les lèvres et la bouche. Le « french kiss » et le baiser ont un rôle important dans l’érogénéité. Ensuite, donner un baiser sur la nuque favorise l’excitation. Les seins et les tétons sont des parties érogènes importantes, car les caresses sur cette partie de l’organisme favorisent la sécrétion d’ocytocine. Les fesses sont également des endroits à privilégier afin de favoriser l’envie. Vous pouvez donner des caresses, voire des tendres fessées sur cette partie du corps. Les hanches occupent la cinquième place en tant que zone érogène.
Les résultats de l’enquête pour les hommes
Que ce soit pour les femmes ou chez les hommes, la bouche et les lèvres occupent la première place en tant que la zone sexuelle. Des caresses à l’intérieur des cuisses favorisent une belle sensation aux messieurs. C’est une partie très sensible vu qu’elle s’approche de la partie génitale. Puis, vous retrouvez à la troisième place la nuque. Une sensation de plaisir octroyée par des baisers ou des caresses sur la nuque font toujours effet. Les tétons procurent également une forte sensation sur le plaisir sexuelle. Enfin, dans la cinquième place il y a le bas du dos. Cette zone est très sensible pour les hommes.
En focalisant sur un échantillon de personnes d’origines sociales et culturelles très différentes, les scientifiques ont pu constater que peu importe l’orientation sexuelle, la culture, l’origine ethnique, le sexe, la notation du « taux d’érogénéité » des différentes zones de l’organisme restent les mêmes.