La troisième enquête « Natsal » a révélé que la fréquence des rapports sexuels des Britanniques a diminué. Par contre, les données collectées auprès des Anglais ont permis de conclure qu’actuellement la population accorde une grande tolérance pour l’adultère ou l’homosexualité.
Ces rapports ont révélé que la fréquence moyenne des relations sexuelles des Britanniques est de cinq fois par mois. Quand on réfère à ces constats, on arrive à estimer que les Anglais n’accordent plus de l’importance aux attitudes et comportements sexuels. Cependant, malgré cette diminution de fréquence de ces relations, les actes sexuels paraissent de plus en plus libérés. Même si le nombre de partenaires masculins par femme a augmenté, l’expérience sexuelle entre femmes aussi s’est accrue. Les partenaires de même sexe sont de plus en plus acceptés par la société anglaise. Une autre attitude a été accordée à la pratique du « sexe occasionnel » et de l’adultère. Les actes sexuels en dehors d’une relation de couple n’ont plus cette représentation négative qu’elles avaient auparavant. On peut dire que les histoires d’un soir sont de plus en plus accordées, mais certaines opinions condamnent encore l’histoire d’un homme ou une femme trompant son partenaire.
D’une autre part, le tabagisme, l’usage des drogues et le faible niveau d’éducation restent à l’origine des actes sexuels involontaires. Les femmes sont le plus victimes de ces mésaventures. Ce qui signifie que la diminution des fréquences en relations sexuelles provoque aussi des effets néfastes. Toutes ces réalités conduisent à la propagation des mésaventures sexuelles telles que les maladies sexuellement transmissibles. Dans ce sens, et face à une fréquence diminuée des rapports sexuels, le nombre des partenaires sexuels augmente par l’application de cette « histoire d’un soir ». Il est affirmé que « les gens ne sont plus d’humeur pour le sexe » et c’est ce qui conduit aux comportements impulsifs ainsi qu’à l’inquiétude dans les relations d’un couple.