Le budget attribué à tous les préparatifs relatifs à la tenue des jeux olympiques n’est pas le seul qui se fait exorbitant. En effet, le nombre de préservatifs proposés à l’intention des athlètes qui participent à ces illustres jeux est carrément hallucinant : 450.000, telle est la quantité de préservatifs fournis cette année pour quelques 10.500 sportifs. Comme quoi, le village olympique peut également se qualifier de village olympique du sexe !
Des préservatifs qui ne cessent d’augmenter en quantité au fil des JO
Le nombre de préservatifs alloué aux athlètes des JO ne cesse de se décupler au fil des évènements sportifs. Pour l’année 2000 à Sydney, il a été mis à disposition des sportifs, 70.000 unités de condoms. Pour les JO qui se sont tenus à Londres, le nombre est passé à 100.000 unités. Cette quantité a littéralement explosé pour ces JO à Rio de Janeiro, puisque la bagatelle de 450.000 capotes ont été « lâché » sur le village olympique, soit une moyenne de 42,8 préservatifs par athlète pour les 16 jours que dureront ces jeux d’été de Rio.
En prévention du virus Zika
Du point de vue officiel, ce nombre ahurissant de « préservatifs olympiques » a pour explication, une mesure préventive pour éviter la propagation du non moins célèbre virus Zika. Mais du point du vue officieux, cette quantité expliquerait que le village olympique soit devenu un lieu propice aux rencontres, aux fêtes les plus délirantes et éventuellement aux orgies de sexe !
Le sexe est indispensable pour « décompresser » aux JO
Auparavant, du fromage pour les Français et de la bière pour les Irlandais suffisaient pour mettre de l’ambiance dans les dortoirs des athlètes. Frédéric Delcourt, médaillé d’argent dans les années 1984 en discipline natation 200 m dos a dévoilé qu’il avait « connu ça à Los Angeles : C’est comme quand vous mettez des jeunes dans une colonie de vacances…Après la compétition, il faut compresser » ! Bien sûr, ce retraité des JO ne faisait sûrement pas allusion à des activités sexuelles disproportionnées.
« Des souvenirs aussi bien sexuels, festifs ou sportifs »
D’après la footballeuse américaine Hope Solo qui a participé aux JO de 2012, ce type d’évènement sportif international est favorable à la création de souvenirs, et pas seulement sportifs ! Elle a même confié sur ESPN que « des gens couchaient à l’air libre, sur les pelouses, entre les bâtiments ». Voire ce comportement libre semblerait être tout à fait naturel : « Dans ce type d’évènement qui ne vous arrive qu’une seule fois dans votre vie, vous voulez vous créer des souvenirs, aussi bien sexuels, festifs ou sportifs ». D’ailleurs si l’on en croit les statistiques (non officielles évidemment), 75% des 10.500 sportifs de ces JO de Rio envisagent des épisodes sexuels durant leur séjour.