Le préservatif était, à ses débuts, conçu dans du boyau de mouton. Quand la capote anglaise a vu le jour, le latex était le constituant qui facilite sa tenue, une extensibilité parfaite pour gainer le pénis. Viennent ensuite divers parfums pour cacher l’odeur du latex et pour apporter plus de fun. Actuellement, des chercheurs sont en pleine étude pour façonner le préservatif dans d’autres composites.
Un préservatif plus fin et plus naturel !
Certains hommes sont réticents quant à l’utilisation d’un préservatif lors d’un rapport sexuel. Pourtant, c’est le seul moyen, jusque-là, qui permet de s’envoyer en l’air sans risque de rattraper une maladie sexuellement transmissible et d’éviter une grossesse. Les uns se plaignent d’un manque de romantisme, d’autres disent qu’il diminuerait le plaisir. C’est ainsi que des chercheurs se penchent sur la gaine pour apporter plus de finesse et de sureté.
De la pelouse, c’est la matière qui pourrait révolutionner le préservatif. L’Université de Queensland est le théâtre de recherches avec des chercheurs australiens qui veulent absolument offrir au zizi un confort optimal. La pelouse en question s’appelle « spinifex », dont structure cellulaire « la nanocellulose », permettrait d’obtenir un préservatif plus fin qu’un cheveu qui supporterait 20% de plus de pression et 40% de plus de volume du pénis.
Bill Gates, oui, le magnat de l’informatique a été séduit par le projet pour avoir versé 100 000$ aux chercheurs afin de confectionner ce préservatif du siècle. Encore en Australie, l’Université de Wollongog veut trouver la formule qui arriverait à le façonner. Ce nouveau préservatif sera composé de 95% d’hydrogel biodégradable. Mais le plus qui fait que ce préservatif soit vraiment innovant, c’est que les chercheurs lui donneraient un caractère intelligent de pourvoir s’auto lubrifier et de pouvoir délivrer à petites doses du viagra.
Sûrement, le préservatif deviendra une « seconde peau » qui conférera plus de commodité et décuplera le plaisir.