Faites l’amour, mais pas la guerre. Non, bien plus encore, faites l’amour avec les plantes si vous êtes écolo. Un groupe australien à l’amour extrême de la nature veut faire circuler un principe inhabituel : entrer en contact avec la nature dans tous les sens, érotiquement.
L’écosexualité pour s’approcher encore plus de la nature
Un groupe australien appelé Pony Express veut sensibiliser les gens à aimer la nature d’une manière assez particulière, voire même érotique. Les membres de ce groupe incitent les gens à entrer en contact plus intime avec les plantes, très intime même parce qu’ils projettent de montrer au public à travers des bains publics ce qu’est l’écosexualité. A l’occasion d’un festival organisé dans le parc botanique de Melbourne, Pony Express associe l’amour pour les plantes à la sexualité. Le principe repose sur le naturisme avec plantophilie, une attirance sexuelle pour les plantes vertes. Les bains publics écosexuels a été conçu pour favoriser l’interaction humano-écologique d’une manière érotique, mais également ludique.
L’expression profonde des désirs sexo-écologiques
Pour ce groupe de performance australienne, dont la renommée tend vers une propagation internationale, l’écosexualité est une orientation sexuelle dans laquelle la biosphère entière reste au cœur du contact érotique. C’est une manière d’exprimer leurs désirs les plus profonds envers tout ce qui est écologique. Lors de cette sorte d’exposition coquine dans le parc botanique de Melbourne, les plantes qui y sont éparpillées dans le grand labyrinthe du parc feront l’objet d’attouchements. Car pour Poney Express, le sexe avec les plantes est un des principes pour cibler les gens à respecter l’environnement.
Cette manifestation aura lieu du 6 au 14 mai prochain lors du Next Wave Festival à Melbourne. Bref, on respecte celle qu’on aime. Moi, j’irai là-bas pour admirer tout ça !