Plusieurs pensent, sûrement, qu’avoir quelque 100 orgasmes dans la journée, c’est le pied, mais non si l’on suit la mésaventure que Dale Decker, un natif de Wisconsin, lui, vit.
Cet homme de 37 ans, marié avec deux enfants, connaît les pires expériences de sa vie. En effet, selon Barcroft Media, il est atteint du « Syndrome de l’excitation génitale persistante » qui consiste à avoir les quelque 100 orgasmes dont il n’arrive pas à contrôler.
Les premiers symptômes survenaient quand il a glissé un disque le long de son dos. Bizarrement, il a éjaculé 5 fois de suite et, depuis, les orgasmes se sont suivis les uns après les autres.
Cela l’a vraiment handicapé comme il avait dit : « imaginez que vous êtes agenouillé devant le cercueil de votre père pour lui dire au revoir et vous aurez 9 orgasmes, juste devant la famille ! ». et d’ajouter : « vous ne voudrait plus jamais jouir, certes, cela détend physiquement, mais il n’y a plus aucun plaisir tellement c’est dégoûtant ! »
M.Decker se plaint que cela porte un préjudice sur sa relation avec sa famille et sur ses déplacements car aucun lieu n’est sûr pour lui épargner de ces orgasmes.
« En public ou, peut-être devant des enfants, c’est répugnant et cela pourrait vous porter atteinte ! »
« Il m’est même arrivé d’avoir des orgasmes dans une épicerie et 150 personnes en avaient après moi. Comment devrais-je quitter ma maison pour subir de tel affront ? »
M.Decker pense qu’il doit être soutenu par sa femme Avril, 33 ans et ses deux fils Christian, 12 ans et Tayten, 11. Avril s’est plainte et a fait remarquer que cette situation nuit à leur ménage car son mari est incapable de travailler et qu’elle sent toute la tension sur elle.
Mais ce qui est le plus terrible dans l’histoire et qui affecte vraiment Avril, c’est que, même si son mari connaît des érections répétitives et des orgasmes continuels, il n’arrive pas à la satisfaire au lit. « Nous ne sommes plus un couple comme les autres, aucune relation sexuelle normale, ce qui est devenu un sujet de disputes que nous avons fait chambres à part » confie Avril.
Frustré et tellement désolé pour sa vie de couple, M.Decker a cherché toutes les solutions possibles pour retrouver une vie normale, dans les livres, chez les médecins, mais aucun résultat.
Dr Dena Harris, un gynécologue à New York, qui a déjà apporté ses expériences auprès les femmes qui souffrent de PGAS, souhaite que M.Decker soit guéri et déclare que beaucoup pensent que ça se passe dans la tête mais c’est vraiment un problème médical sérieux et que son cas devrait être traité le plus tôt possible pour ne pas se dégrader.
Et d’ajouter que cet état n’est même pas de l’excitation sexuelle, c’est un spasme atroce qui pourrait devenir douloureux. Dans de tels cas, il est assez inquiétant car le suicide serait l’ultime solution à laquelle les victimes auront recours.